mars 8, 2018
Ô MAGAZINE
Paxal nous entraîne dans l’ivresse des contes. Un peu de Jack Daniels, du Perrault comme il en faut, des femmes et des hommes nus ou se dénudant dans un strip infernal autour de la crinière d’un lion, un fond noir et des couleurs vives, des seins et des fesses, et des blagues et une structure picturale ferme.
Voilà les quelques tableaux qu’il ne faut pas hésiter à retenir. Les grands formats vous accueillent chez vous comme il se doit, et leurs détails vous laisseront le temps d’écouter votre concerto préféré.
PAXAL
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